il était une fois
dans un pays qui n'existait pas
des hommes...
des femmes...
et leurs espoirs
qui n'étaient pas en papiers monnayés...
ils avaient laissé leur monde inachevé
avec des portes juste dessinées
pour les Hommes du Peut-être
qui forgeraient les Clés
Photos : expo à La Cartuja, fabrique de céramiques, Séville.
Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre !!!
Rédigé par : Tyaz | 21/02/2015 à 08:04
@Tyaz : oui, tu parles de l'énergie du désespoir ? (je plaisante) La colère aussi est un moteur puissant, la maison ne rutile jamais autant que lorsque je suis en colère ;-)
Rédigé par : another | 21/02/2015 à 11:05
Voir le possible là ou les autres voient l'impossible...
Bises et amitiés.
Rédigé par : Patrick | 22/02/2015 à 07:22
laisser une ouverture pour la paix. comme une liberté intérieure.
un bel article
Rédigé par : photodilettante | 22/02/2015 à 10:45
J'aime cette série qui suscite divers sentiments.
Bonne soirée
Rédigé par : Pascale MD | 22/02/2015 à 17:37
les images sont très belles, le texte intense invite à penser… "…des portes juste dessinées…"
Rédigé par : francesco | 22/02/2015 à 18:10
@Patrick, photodilettante, PascaleMD, Francesco : merci à vous de me suivre dans mes pérégrinations intérieures, vos échos m'apportent beaucoup.
Rédigé par : another | 22/02/2015 à 19:25
Des portes qui s'ouvriraient sur la liberté…
Très bel ensemble photos et mots
Merci
Rédigé par : jackie | 23/02/2015 à 07:04
Souhaitons que cette forge soit rougeoyante et les clefs bientôt forgées. Pas de temps à perdre !
Rédigé par : Margimond | 23/02/2015 à 10:59
Je me demande bien comment serait le monde
si c'était des poètes et des artistes
qui nous gouvernaient ?
Rédigé par : Pascal | 24/02/2015 à 21:50